Une dernière conférence réussie pour une saison qui l’est tout autant !

13517518_10209673224056647_274592159951653559_o - Copie 13517506_10209673225176675_3471852349516473197_o 13517383_10209673227056722_8678381009762542060_o 13503069_10209673224536659_6200690872121476390_o 13497861_10209673225376680_1867804143703390689_o 13497844_10209673225736689_593046330343141055_o 13490722_10209673225936694_3097405113352223097_o 13482852_10209673226456707_501844507847660698_oCe 21 juin, s’est tenue notre dernière conférence de la saison 2016/2017 aux Ateliers des FUCAM à Mons qui avait pour thème la trajectoire climatique et environnementale pour la Belgique après la COP 21 et l’accord de Paris.
Le président de notre centre d’études, Charles-Etienne Lagasse, a tout d’abord explicité le contexte de la conférence liée à l’accord de Paris, et en a relevé à la fois les avancées, les enjeux essentiels qu’il suscite, mais aussi les critiques
Devant une assemblée attentive, nos excellents orateurs (Vincent Van Steenberghe, expert climatique et énergie au SPF Environnement, Arnaud Collignon, conseiller énergie auprès d’Inter Environnement Wallonie, et Juliette Boulet, porte-parole chez Greenpeace) ont dressé un inventaire fouillé des scénarios bas carbone à l’horizon 2050, mis l’accent sur la nécessité d’une politique énergétique coordonnée, indiqué l’importance des investissements à consentir au niveau régional et fédéral pour aboutir à ce défi de 2050, qui justifiera des choix politiques sans équivoque afin d’assurer la transition énergétique vers des sources d’énergie renouvelables, et la disparition des combustibles fossiles.
Tous se sont accordé quant au fait de la faisabilité technique de ce scénario bas carbone et d’une réduction substantielle des émissions GES (gaz à effet de serre) , sur l’urgence d’agir, tout en rappelant les difficultés liées au contexte institutionnel belge qui bride la cohérence pourtant indispensable de notre politique énergétique qui se doit d’être ambitieuse.
Christophe VERBIST.
Directeur du CEG.